La moindre trace que l’on confie au métal, cuivre ou zinc, la moindre morsure qu’on lui inflige, la plaque, à l’impression, nous les rend trait pour trait, au dixième de millimètre près.
A l’envers bien sûr mais la magie est toujours de mise lorsqu’on soulève le papier et que l’image apparait.
Avec le bois, c’est plus franc, plutôt brut mais tout aussi jubilatoire.
Graver, graver, le plaisir est intense. La gouge, la pointe sèche, l’acide ne m’ont pas encore tout révélé, il reste tant à découvrir.